Encyclopédie Atypique Incomplète
Incomplète, car toujours en construction au gré des jours, avec sérieux, curiosité et humour.
Atypique, car toujours dans l'esprit de la connaissance par l'observation et la pratique.
Incomplète, car toujours en construction au gré des jours, avec sérieux, curiosité et humour.
Atypique, car toujours dans l'esprit de la connaissance par l'observation et la pratique.
jeudi 14 mai 2009
La première fois que vous avez posé les yeux sur cette photo, vous avez vu la fille tourner dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire des aiguilles d’une montre ?
Nota : Vous pourrez ensuite la voir tourner dans tous les sens (à votre guise avec un petit effort de volonté, ou tout simplement en vous concentrant sur l’ombre...) mais ce qui compte, c’est la première fois, la première visualisation du sens de rotation.
Nous n’avons pas deux cerveaux (rassurez-vous), l’un à droite, l’autre à gauche...
La terminologie employée, cerveau gauche et cerveau droit, est une approche fonctionnaliste et métaphorique.
Les deux types de cerveau, comme nous venons de le voir, sont complémentaires.
Mais certaines personnes sont plutôt orientées cerveau gauche et d’autres cerveau droit. Attention au risque de spécialisation car il rigidifie la personne.
C’est un atout de pouvoir utiliser ses deux hémisphères selon les contextes. Il est donc utile d’apprendre à les solliciter tous les deux lors des diverses opérations mentales.
Ainsi, si vous associez un schéma, une image à un texte vous faites fonctionner les cerveaux gauche et droit.
Nous possédons, tous, deux hémisphères cérébraux qui interagissent constamment, mais qui présentent chacun des fonctions spécifiques :
L’idéal est de favoriser la communication entre ces deux cerveaux. Mais notre éducation, ou notre tempérament, nous conduit parfois à privilégier l’une de ces deux zones. Cette prédominance déterminera différentes manières de penser la vie.
Pour le savoir, nous vous invitons à réfléchir aux vingt situations suivantes :
Vous êtes...
Apprendre, retenir, acquérir de nouvelles connaissances, de nouveaux savoir- faire, de nouvelles compétences est capital dans le monde moderne où il existe une exigence permanente de performance.
L’évolution rapide des nouvelles technologies oblige à « jeter » les apprentissages obsolètes et à assimiler très vite (performance oblige) de nouvelles données.
Heureusement, notre cerveau à des réserves considérables, nous n’utilisons qu’une petite part de son potentiel.
De plus, il est pratiquement inusable (sauf pathologie) sous réserve que nous le fassions fonctionner et ceci de façon appropriée.
Notre cerveau ne s’use que si l’on ne s’en sert pas !